Document exceptionnel sur le parcours intellectuel et métapolitique d'Alain de Benoist, Mémoire vive, publié en 2013 chez De Fallois, risquait de devenir introuvables après la disparition de cette maison d'édition suite à la mort de son fondateur Bernard de Fallois en 2018. La Nouvelle Librairie a donc récemment réédité ces entretiens accordé par Alain de Benoist à François Bousquet pour les rendre à nouveau disponibles.
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La mémoire vive d'Alain de Benoist...
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Germanica...
Les éditions Dualpha viennent de rééditer en un volume intitulé Germanica trois études d'Alain de Benoist consacrées au domaine germanique et publiées initialement dans diverses revues.
Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Contre le libéralisme (Rocher, 2019), La chape de plomb (La Nouvelle Librairie, 2020), La place de l'homme dans la nature (La Nouvelle Librairie, 2020), La puissance et la foi - Essais de théologie politique (La Nouvelle Librairie, 2021), L'homme qui n'avait pas de père - Le dossier Jésus (Krisis, 2021), L'exil intérieur (La Nouvelle Librairie, 2022) et, dernièrement, Nous et les autres - L'identité sans fantasme (Rocher, 2023).
" Dans ce volume intitulé Germanica, l’essayiste Alain de Benoist apporte sa pierre aux études germaniques en s’intéressant à trois sujets bien différents, mais qui tous contribuent à éclairer certains aspects mythologiques et historiques mal connus dans notre pays.
Le premier texte fait le point sur l’un des mythes centraux de l’ancienne religion germanique : Yggdrasill, l’arbre cosmique des Germains. Ce mythe, qui nous parle encore aujourd’hui, expose la façon dont les Germains se représentaient la structure générale de l’univers et la place qui occupent les hommes et les dieux. On en retrouve l’équivalent chez d’autres peuples d’origine indo-européenne, notamment avec le thème de l’axis mundi, l’axe du monde reliant l’étoile Polaire aux mondes terrestre et souterrain.
Dans le deuxième texte, Alain de Benoist retrace dans le détail la guerre féroce qui opposa pendant plus de trente ans les Francs de Charlemagne aux peuples saxons fédérés sous l’autorité du héros Widukind. Cette guerre culmine dans le massacre de Verden, qui voit la décapitation en l’an 782 de 4 500 Saxons qui refusaient de perdre leur indépendance et de renoncer à la foi de leurs ancêtres.
La dernière contribution porte sur le singulier personnage de Götz von Berlichingen, le célèbre Chevalier à la Main-de-Fer, et sa participation à la Guerre des Paysans qui, au début du XVe siècle, opposa le peuple et les chevaliers aux seigneuries princières soutenues par l’Église. C’est l’occasion de dresser un tableau vivant de cette époque et de montrer l’importance de la grande révolte populaire que fut la Guerre des Paysans dans l’histoire du peuple allemand. "
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Les imposteurs : pourquoi il faut les dégager !...
Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°203, août - septembre 2023) est en kiosque!
A côté du dossier consacré aux 501 imposteurs les plus nuisibles, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Michel Maffesoli, Frédéric Rouvillois et Jean-Pierre Dionnet...
Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, de Bernard Rio, d'Ego Non et de Slobodan Despot...
Au sommaire :
Éditorial
Face à la technique Par Alain de Benoist
Agenda, actualités
L’entretien
Michel Maffesoli : « La parole du pouvoir est devenue vide » Propos recueillis par Alain de Benoist
Cartouches
L’objet disparu : les cigarettes de jadis Par Nicolas Gauthier
Une fin du monde sans importance Par Xavier Eman
Cinéma : Damiano Damiani, une gauche assez adroite Par Nicolas Gauthier
Curiosa Erotica : pour l’amour d’une sylphide Par David L’Épée
Champs de bataille : Portugal, petit pays, grand empire Par Laurent Schang
Les Diafoireux (1ère partie) Par Bruno Lafourcade
Jean-Daniel Verhaeghe, un romancier derrière la caméra Par Michel Marmin
Pierre Gripari, un élu des dieux de l’imaginaire Le regard d’Olivier François
Économie Par Guillaume Travers
Bestiaire : pieuvre, d’un cauchemar l’autre Par Yves Christen
Sciences Par Bastien O’Danieli
Le combat des idées
Avant-guerre civile en France : cinq jours de chaos Par François Bousquet et Pascal Eysseric
Frédéric Beigbeder, quasiment un écrivain Par François Bousquet
Frédéric Rouvillois : les régimes libéraux ou la démocratie sans le peuple Propos recueillis par Thomas Hennetier
Les Français de souche, une histoire vieille de 4 200 ans Par Gabriel Piniés
Populisme : l’analyse à géométrie variable d’Antoine Chollet Par David L’Épée
Le mythe de la compensation écologique : le Grand Remplacement de la nature Par Guillaume Travers
Le mythe de l’entrepreneur, portrait du portrait en idéaliste visionnaire Par David L’Épée
Inclassable Corelli Barnett, le pourfendeur des élites anglaises Par Trystan Mordrel
Thierry Gillybœuf : Virgil Gheorghiu, la résurrection d’un écrivain calomnié Propos recueillis par Daoud Boughezala
Olga Semenova : Julian Semenov, un espion soviétique chez les SS Propos recueillis par Daoud Boughezala
Une taupe chez les soviets : Tolkachev, l’homme qui a vendu l’URSS à la CIA Par Daoud Boughezala
Contre l’esprit de sérieux, la nostalgie amusée de Thomas Morales Propos recueillis par Nicolas Gauthier
Jean-Pierre Dionnet : la série B, le cinéma d’avant les marchands Propos recueillis par Nicolas Gauthier
Saint Christophe, le colosse en guimauve Par Christophe A. Maxime
Le naturisme à l’italienne, vers un futurisme des champs Par Adriano Scianca
La révolte des gueux au XXe siècle : le chef-d’œuvre de Louis Paul Boon Par Gérard Landry
Dossier
Les imposteurs : pourquoi il faut les dégagerNotre classement des 501 imposteurs Par Daoud Boughezala et François Bousquet
Notre questionnaire pour l’été : sur la plage, sachez détecter les imposteurs
Panorama
L’œil de Slobodan Despot
Reconquête : nostalgie des paysages florentins Par Slobodan Despot
La leçon de philo politique : Maurice Barrès Par Ego Non
Un païen dans l’Église : le diable, le dragon et la dame d’Andlau Par Bernard Rio
C’était dans Éléments : le bel avenir de la guerre urbaine Par Laurent Schang
Éphémérides
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La France au milieu des émeutes...
Alain de Benoist : la France au milieu des émeutes
IL GIORNALE : Les manifestations de ces jours-ci témoignent de l’échec du multiculturalisme. Comment en est-on arrivé là ?
ALAIN DE BENOIST. Elles manifestent bien sûr un échec du multiculturalisme, mais s’en tenir là serait réducteur. Les violentes émeutes urbaines auxquelles nous assistons en ce moment témoignent aussi d’un pays divisé et fragmenté, non à cause des immigrés, mais en raison d’une idéologie dominante qui a substitué, dans la population générale, la loi du profit aux règles morales. Dans une société dominée par les valeurs marchandes, qui créent structurellement les conditions de la fragmentation et de la déliaison sociale, il ne faut pas s’étonner que personne ne se soucie du bien commun.
Dans ces émeutes, la gauche a surtout vu une révolte sociale (contre la discrimination, l’exclusion, le chômage, etc.), tandis que la droite a parlé de révolte ethnique annonciatrice d’une guerre civile. Il y a du vrai dans ces deux interprétations, mais elles sont l’une et l’autre à courte vue. Depuis quarante ans des dizaines de milliards d’euros ont été investies dans la « politique de la ville » et la remise en état des « quartiers difficiles » sans aucun résultat. D’autre part, une guérilla urbaine n’est pas une guerre civile. Dans une guerre civile, deux fractions armées de la population s’affrontent, la police et l’armée étant également divisées, ce qui n’est pas le cas ici.
D’une façon générale, ce sont les interprétations strictement politiques qui s’avèrent incapables de prendre la pleine mesure du problème. Les actuelles émeutes urbaines n’ont aucun caractère politique. Les émeutiers n’ont aucune revendication à faire valoir. Ils veulent seulement détruire et piller. Lorsque des représentant de la gauche ou de l’extrême gauche se rendent dans les cités pour faire savoir qu’ils « comprennent la colère » des émeutiers, il se font expulser ou cracher au visage !
Dans quelle mesure la crise de l’identité française et européenne influence-t-elle les manifestations ?
La population française a aujourd’hui perdu tout sentiment d’appartenance à une communauté. Les émeutiers en ont une – ou croient en avoir une. La crise de l’identité française a des racines anciennes. Elle est la résultante de l’emprise d’une idéologie à la fois individualiste et universaliste, qui croit que les hommes sont « partout les mêmes », et que les facteurs ethnoculturels n’ont pas d’importance. Aucune société ne peut résoudre ses problèmes par la seule addition du contrat juridique et de l’échange marchand.
L’État français est-il remis en cause parce que de nombreux immigrés ne reconnaissent pas l’autorité des institutions françaises ?
Les émeutiers ne se soucient pas de l’État français, qui les indiffère. Quand ils attaquent les policiers avec des mortiers d’artifice, quand ils incendient des mairies ou des casernes de pompiers, c’est moins parce qu’ils voient en eux des représentants de l’autorité que parce qu’ils les perçoivent comme des intrus. Ils raisonnent en termes de territoire (la « frontière invisible »), de façon purement tribale. Ils s’attaquent d’ailleurs aussi bien aux écoles, aux librairies, aux épiceries, aux boutiques, aux voitures. Ils se regardent comme une bande attaquée par une bande rivale.
Ce serait une autre erreur de croire que les émeutiers ne veulent connaître aucune règle. Il y a au contraire des règles qu’ils respectent très bien : les leurs ! La plupart d’entre eux viennent de cultures et de sociétés familiales de type clanique, et ils continuent de se comporter de manière clanique. Si l’un d’entre eux est victime de la « violence policière », tous s’estiment victimes aussi. C’est ce que les pouvoirs publics, prisonniers de leur idéologie, ne parviennent pas à comprendre : la mère d’un enfant tué après avoir commis une attaque à main armée ne dira jamais que son fils s’est mal comporté. Elle dira qu’à travers lui, c’est tout le clan qui a été attaqué. C’est le principe même du tribalisme clanique : les miens ont toujours raison puisque ce sont les miens.
Pourquoi les deuxième et troisième générations sont-elles plus radicalisées que les précédentes ?
Elles sont plus radicalisées parce qu’elles souffrent d’un déficit identitaire beaucoup plus marqué. De telles émeutes ne sont jamais le fait d’immigrés de la première génération, qui sont venus s’installer en France volontairement tout en conservant une claire conscience de leurs origines, et donc de leur identité. Les deuxième, troisième ou quatrième génération se considèrent comme algériens, maliens, marocains, sénégalais, etc., même lorsqu’ils ont la nationalité française, mais ils ne connaissent pratiquement rien des pays d’où sont venus leurs parents ou grands-parents. Ils ne se sentent pas français, mais n’ont qu’une identité de rechange artificielle ou fantasmée. Leur frustration est totale. Ils ne peuvent plus exprimer ce qu’ils sont que par la violence et la destruction.
Dans ce contexte, le système judiciaire français, souvent accusé d’être trop laxiste à l’égard des immigrés qui comment des délits, a-t-il joué un rôle à votre avis ?
Le laxisme du système judiciaire est bien réel. Les émeutiers savent bien qu’au fond ils ne risquent pas grand-chose, car la loi n’est pas appliquée. Un refus d’obtempérer assorti d’un délit de fuite peut théoriquement valoir jusqu’à dix ans de prison, mais de telles peines n’ont jamais été prononcées. De surcroît, il n’y a plus de places dans les prisons ! Cela contribue à la démoralisation des policiers.
En 2005 déjà, de graves manifestations avaient eu lieu en France. Qu’est-ce qui a changé par rapport à la situation d’il y a presque vingt ans ? La situation s’est-elle aggravée ?
Entre 2005 et 2023, il y a des différences. La plus grande ampleur des émeutes, qui en cinq jours ont déjà fait plus que de dégâts de celles de 2005 qui avaient duré trois semaines, s’explique d’abord par le simple fait que les populations immigrées d’où sont issus le émeutiers sont aujourd’hui beaucoup plus nombreuses. Le rôle aujourd’hui prédominant des réseaux sociaux est aussi à prendre en compte. En 2005, les émeutes s’étaient concentrées dans les grandes métropoles, elles touchent aujourd’hui les petites villes. Les émeutiers sont également beaucoup plus jeunes (un tiers de ceux qui ont été interpellés ont entre 13 et 15 ans et étaient inconnus des services de police) et beaucoup plus violents. Dans les cités, une culture de la violence gratuite s’est développée : ce n’est plus seulement pour voler quelque chose que l’on a recours à la violence, mais pour un « mauvais regard », pour un refus de cigarette ou tout simplement pour rien – sinon pour le plaisir. Et l’on monte rapidement aux extrêmes : on continue à frapper qui est déjà à terre, on n’hésite pas à tuer. En France, selon une enquête de l’INSEE, on enregistre une agression gratuite toutes les 44 secondes…
Le problème de l’immigration ne concerne pas seulement la France, mais aussi d’autres grandes nations européennes comme l’Allemagne où, pourtant, des phénomènes de cette ampleur ne se sont jamais produits. Qu’est-ce qui n’a pas fonctionné dans le modèle français en matière d’immigration ?
C’est précisément la preuve que le seul multiculturalisme ne suffit pas à expliquer les émeutes. Ce qui est particulier à la France, c’est qu’elle a été pionnière en matière d’immigration : le problème se posait déjà chez elle alors que l’immigration commençait à peine dans des pays comme l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne ou le Royaume-Uni. Il y a aussi le fait que l’immigration en France reste associée au souvenir de la période coloniale, qui a fait naître des rancœurs qui ne sont pas éteintes. On ne peut exclure enfin que certaines techniques de maintien de l’ordre qui se sont révélées ailleurs les plus efficaces ne sont pas toujours employées par la police française. La façon dont, pendant des décennies, on s’est acharné à nier l’existence des problèmes a eu des conséquences explosives.
Les protestations de ces jours-ci auront-elles également des conséquences politiques en vue des élections européennes de l’année prochaine en renforçant la droite ?
Oui, c’est évident. Des troubles comme ceux auxquels nous assistons en ce moment contribuent à faire ouvrir les yeux. Le Rassemblement national est déjà devenu le premier parti de France, et les sondages le donnent vainqueur des prochaines élections européennes. L’opinion française est excédée, elle n’en peut plus. Elle voit que le gouvernement est totalement dépassé par ce qui se passe. Une majorité de Français voudraient voir l’armée intervenir dans les banlieues. Emmanuel Macron se voit reprocher de n’avoir pas instauré l’état d’urgence, comme cela avait été fait en 2005. Le symbole le plus significatif est l’incroyable succès de la cagnotte lancée sur les réseaux sociaux pour venir en aide à la famille du policier auteur des coups de feu qui ont déclenché les émeutes : en moins de quatre jours, elle a dépassé le million et demi d’euros (avant d’être clôturée) ! Du jamais vu.
La France est-elle perdue à jamais ou existe-t-il une chance de mettre un terme à cette situation ?
Il ne faut jamais dire jamais ! Les vieux pays d’Europe ont connu dans le passé des épreuves bien plus graves, et s’en sont toujours relevés. Tout ce qui s’actualise potentialise une réaction en sens contraire. L’histoire est imprévisible. Elle est par définition le domaine de l’imprévu.
Pensez-vous que ce qui se passe aujourd’hui en France puisse également se produire en Italie ?
C’est possible, sinon probable. Toute la question est de savoir si le gouvernement italien saura tirer les leçons de ce qui se passe aujourd’hui de l’autre côté des Alpes.
Alain de Benoist (Site de la revue Éléments, 7 juillet 2023)
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La Nouvelle Droite au XXIe siècle...
Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de rééditer sous le titre La Nouvelle Droite au XXIe siècle - Orientation pour les années décisives, le Manifeste pour une renaissance européenne que le Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne avait publié en 2000 et qui était devenu introuvable. Ce texte d'orientation, qui n'a pas pris une ride, est complété par une préface inédite d'Alain de Benoist.
"La publication de ce manifeste répondait au désir exprimé par un nombre croissant de personnes de connaître les grandes orientations doctrinales du Groupement de recherche et d’études pour la civilisation européenne. En trente années d’existence, ce courant de pensée n’avait jamais rédigé de véritable synthèse de l’ensemble de ses travaux. Reflet momentané d’une réflexion permanente, ce manifeste se lit comme un bilan d’étape, un jalon dans une aventure métapolitique qui a réussi à s’inscrire dans la durée et dont les travaux sont désormais internationalement connus et reconnus. Outre les fondements théoriques d’une vision du monde, le texte aborde l’ensemble des questions de société auxquelles sont confrontés les Européens, en leur apportant des réponses novatrices. Texte engagé, ce manifeste donne les clefs indispensables pour affronter les nombreux défis du XXIe siècle. À l’agitation politicienne et à la diversion médiatique, il oppose une mise en perspective lucide des véritables enjeux idéologiques. Et forme ainsi le socle d’une « politique de civilisation » à l’échelle du continent européen."
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Le phénomène "trans" ou le grand dérèglement...
Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°202, juin - juillet 2023) est en kiosque!
A côté du dossier consacré au phénomène "trans", on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Eric Naulleau, Jacques Julliard, Georges Liébert et Dominique Fernandez...
Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, de Daoud Boughezala, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, de Bernard Rio, d'Ego Non et de Slobodan Despot...
Au sommaire :
Éditorial
Fausses alternatives Par Alain de Benoist
Agenda, actualités
L’entretien
Éric Naulleau : « Le wokisme est un totalitarisme en marche » Propos recueillis par Bruno Lafourcade
Cartouches
L’objet disparu : le vidéo-club Par Nicolas Gauthier
Une fin du monde sans importance Par Xavier Eman
Cinéma : embellie du cinéma populiste ? Par Nicolas Gauthier
Curiosa Erotica : les filles de Provence de Léon Daudet Par David L’Épée
Champs de bataille : Franz von Sickingen, le dernier chevalier Par Laurent Schang
Les cultueuses Par Bruno Lafourcade
Ukraine : Thierry Marignac fait parler la pègre Par Daoud Boughezala
Retour de Drieu Par Christopher Gérard
Libre Ellul Le regard d’Olivier François
Économie Par Guillaume Travers
Bestiaire : Macaque faber Par Yves Christen
Sciences Par Bastien O’Danieli
Le combat des idées
Les black blocs face à la police : nouvelle géographie de la violence Par Laurent Vergniaud
Jacques Julliard décrypte la pensée de Georges Sorel Propos recueillis par François Bousquet
Patrick Buisson : La décadanse en chantant Par François Bousquet
Georges Liébert : « Wagner, le grand excitant de l’époque moderne» Propos recueillis par Olivier François
Ces écrivains russes dans le viseur de l’Occident : l’attentat contre Zakhar Prilepine Propos recueillis par Daoud Boughezala
La terre russe selon Monique Slodzian « L’Occident n’a pas voulu voir les 15 000 morts du Donbass »
Propos recueillis par Daoud BoughezalaEntretien avec Dominique Fernandez : un académicien aux pays des soviets Propos recueillis par Daoud Boughezala
La Délégation des siècles : nouveau venu de l’édition littéraire de droite Propos recueillis par David L’Épée
Pierre Mari, un mécontemporain capital Propos recueillis par Olivier François
Simon Collin, le Clochard céleste : le bon génie du mauvais goût Par David L’Épée
2023 : l’année d’Antoine Bourdelle Par Alix Marmin
Pierre Legendre et Clément Rosset : héros de la Mancha Par Christophe A. Maxime
Le « mythe surhumaniste » selon Giorgio Locchi Par Alain de Benoist
Ernst Kantorowicz, une biographie intellectuelle de Guillaume Travers Propos recueillis par Laurent Schang
À la découverte de Jean Vioulac : anarchéologie du désastre Par Élie Collin
Dossier
Le phénomène trans : le Grand Dérèglement
Le monstre et le mutant : le phénomène trans Par François Bousquet
Des transgenres aux transsexuels : le grand retour de l’essentialisme Par David L’Épée
Le phénomène trans sur le divan de Dany-Robert Dufour Propos recueillis par Thomas Hennetier
Reportage : le dilemme des féministes face aux trans Par Daoud Boughezala
Marie-Jo Bonnet : « Ce n’est pas avec un faux pénis qu’on devient un homme » Propos recueillis par Daoud Boughezala
Abus transsexuels sur mineurs Par David L’Épée
Panorama
L’œil de Slobodan Despot
Reconquête : Mémoire digitale Par Slobodan Despot
Un païen dans l’Église : un baiser d’amour à Lautenbach Par Bernard Rio
C’était dans Éléments : L’Europe contre l’occident Par Robert de Herte
Éphémérides